De premier abord, la Sage Galadriël semble plutôt une jeune femme faible, voir à l’allure d’une enfant. Presque une poupée de porcelaine. Mais la réalité est tout autre. Son peuple la surnomme l’Edelweiss. Car elle semble aussi fragile qu’une fleur. Mais est en faite, une elfe forte. Etant d’une nature généreuse et gentille. Elle mettra tout en œuvre pour venir en aide aux membres de son peuple. Elle ne dit pas qu’elle déteste la violence, comme la plupart des elfes pourraient le dire en l'a voyant. Elle fait simplement tout pour ne pas en venir à la « manière forte ». Et si il faut en passer par là. Elle le fera. C’est une escrimeuse hors pair. Maniant sa rapière avec légèreté et grâce. Se déplaçant comme un serpent d’eau, aussi vite que le vent. Il est rare qu'elle se mette en colère. Elle sait se faire respecter, sans forcément paraître stricte et froide. Elle connaît simplement son peuple sur le bout des doigts, connaît leurs faiblesses. Et sait manier les mots à la perfection. Elle est très proche de la nature et des animaux. Elle aime d’ailleurs énormément la race des dragons, totalement fascinée par eux. Galadriël sait garder son sang-froid en toutes circonstances. Elle ne s'énerve pas. Enfin, pratiquement pas. Cela doit bien faire au moins un siècle que personne ne l'a vu se mettre en colère contre quelqu'un. D'ailleurs, la notion de colère noire, lui est totalement inconnue. Bien qu'elle ait l'apparence d'une jeune fille semblant faible, ce n'est pas pour autant qu'elle pleurera. Elle ne pleure presque jamais, et vraiment pour les choses qui arrivent à toucher réellement son cœur d'elfe. Mais elle ne pleurera pas en public, mais le pourra en présence de l'autre sage qui l'accompagne. Ayant une totalement confiance en lui.

Galadriël, du haut de son mètre soixante quinze est une bien jolie elfe. Bien que par nature, tout elfe possède une beauté sublime. Elle pèse environ soixante kilos. Elle est d’une nature osseuse fine. Sa peau est claire. Sans avoir une pâleur trop prononcée. Son visage n’est constitué que de lignes fines et délicates. Ses yeux sont grands et ronds, affectueux et chaleureux. Il s’agit de deux orbes bleu roi, se dégradant vers le bleu pâle. Ses cils étant longs et touffus. Alors que ses sourcils sont aussi fins que de simple lignes tracées sur un parchemin à l’aide d’une plume. Quand à son nez, il est petit, avec la pointe arrondie. Ses lèvres sont aussi fines que le reste de son corps. Ni trop pulpeuse, ni pas assez. Douce comme de la fourrure. Ses cheveux sont extrêmement longs. Lui arrivant jusqu’en dessous de ses fesses. Ils ne sont ni épais, ni bouclés. Ils sont fins, lisse et plat. De couleur bleu clair, et parfois semblant translucide. Coiffée d’une frange et attachant deux tresses ensemble derrière sa chevelure longue, à la façon si commune des elfes. Ses jambes ainsi que ses bras sont fins, mais musclés. Ses mains sont fines et douces. Ses doigts sont ceux d’un musicien. Délicat et attentif. Ses ongles sont longs, mais pas trop. Pour paraître distinguée. Sa poitrine est de bonne proportions. Et son ventre est plat, avec un nombril assez mignon. Avec de petites oreilles avec le bout pointu.
Niveau vestimentaire. Elle aime porter une tenue ni trop lourde, ni trop légère étant tout autant pour tous les jours que pour les champs de batailles. Une fine tunique bleu claire lui arrivant en dessous des fesses. Et par-dessus un manteau-robe bien plus épais, de couleur blanc et bleu roi attachée par des ceintures de cuir bleues et de boucles d’argent. Portant aussi de fines mitaines avec un pantalon léger et droit en dessous, pour les longues chevauchées.

Galadriël est née lors d’une journée hiver, alors que la neige emplissait Mëssyath. Les flocons tombaient lentement de l’autre côté du mur. La mère de Galadriël était une superbe haute elfe, elle avait de magnifique cheveux roux, et ses yeux couleur du miel. Mais elle avait tout prit de son père. Celui-ci avait les cheveux bleu foncé et les yeux d’un bleu extrêment pâle. Comme si il était aveugle. Ce qu’il n’était pas. Celle-ci est née il y a environ sept siècles et demi de cela. Malheureusement, pendant la guerre qui ravageait les contrées magnifiques et verdoyantes de Mëssyath. Tous les peuples s’affrontaient.. Elle s’en souviendra tout au long de sa vie. Car, d’une nature sensible à tout ce qui l’entour, la méchanceté, le sang versé et la douleur ressenti l’a toucha bien plus qu’elle ne le pensait. Elle était, enfant, et l’est d’ailleurs encore aujourd’hui, fascinée par la race des dragons. Dès qu’elle pouvait croiser un dragonnien, elle n’hésitait pas à lui poser les questions innombrables qui lui traversaient l’esprit. Elle adorait les dragons. Enfin, en réalité, elle adorait toutes les créatures de son monde. Elle disait souvent à son meilleur ami, qu’elle aurait aimée naître dragonnien. Malgré le fait qu’elle voue aujourd’hui presque un culte au bien-être de son peuple, il est vrai que d’année en année, elle se conforte dans cette pensée insignifiante d’enfant. Car plus les siècles défilés, plus elle se disait, que la vie de haut elfe n’était pas aussi « bien » que celle d’un dragonnien. Pour elle, sa vie était superbe, mais d’un autre côté, elle ne trouvait aucun vrai but à celui-ci. Aucun « mouvement ». Alors que la vie d’un dragonnien était lié à celle de son dragon, cela devait être agréable de voler dans les airs.. Mais la vie était ainsi, et elle s’en satisfaisait. Vers ses 200 ans, elle apprit à manier les armes, elle avait vu dans un atelier, une superbe rapière blanche et bleu. Et depuis ce jour, elle se dit qu’elle choisirait cette arme pour se battre. Ce fut confirmé quand elle commença les cours.. Elle commença avec le tir à l’arc. Le professeur, qui n’était autre que son père, lui faisait essayer plusieurs types d’armes pour voir laquelle lui convenait le mieux. Et bien.. Ce n’était pas l’arc en tout les cas.. Elle n’arrivait pas a tenir l’arc convenablement et dès qu’elle tirait une flèche, celle-ci n’allait jamais très loin.. Et l’arc tombait à terre. Quelle déception ce fut alors pour lui, son père étant un archer très doué. Il finit par lui faire plaisir. L’initiant au combat à la rapière. Ce qui vous vous en doutait, lui convenait parfaitement. Finalement, elle obtint l’arme « de ses rêves » après plusieurs longues leçons, ce fut le cadeau de son père, pour elle. Vers ses 400 ans, certains, surtout le sage de l’époque, remarquèrent sa grande agilité et sa façon de manier son arme. Finalement, un surnom arriva alors jusqu’à ses oreilles. « L’Edelweiss ». Bien que la guerre était déjà terminée, elle était heureuse de savoir se battre, au cas où cela serait nécessaire. Car elle n’aimait pas recourir à cette option. Elle aimait faire des duels amicaux, mais pas réellement se battre pour tuer. La vie était un cadeau. Bien sur, avant sa majorité, elle avait déjà commençait à étudier la magie en compagnie de sa mère. Qui lui avait apprit à respecter en toutes circonstances la nature qui nous entoure. Elle finit par maîtriser deux éléments. Le plus puissant étant l’eau, qu’elle façonnait selon son bon vouloir. Son pouvoir sur la nature lui servait principalement pour guérir les autres. Elle était très fière d’elle, de ce qu’elle avait accomplit, et du fait qu’elle voulait tout faire pour aider son peuple. Voila qu’alors, à ses 600 ans, elle fut nommée Sage. Choisit par les deux précédents, car l’ancienne, se trouvant trop fatiguée pour poursuivre sa tâche. Elle promit alors, à elle-même ainsi qu’à la sage, qu’elle serait faire honore à sa fonction, et en se souciant de l’avenir de son peuple plus que tout autre chose, mais aussi en prenant les décisions adéquats avec le second sage.  

L'eau: Elle est capable de manipuler l'eau, et de le transformer, en vapeur ou bien en glace.
La nature: Elle maîtrise la croissance de certaines fleurs et herbes. Principalement des médicinales, car elle utilise le plus souvent ses pouvoirs pour soigner. Préférant se battre avec sa rapière.